En matière rédactionnelle, certains standards des autorités fédérales s’appliquent à toute démarche d’information, quel que soit le public visé. Cela concerne notamment la hiérarchisation de l’information suivant la pyramide inversée de l’information, les uniformisations et les règles d’écriture (orthographe, grammaire…).
L’approche rédactionnelle (ton, style de langage…) varie en fonction de la raison d’être de la communication (informer, susciter une émotion, inciter à l’action…) et des publics cibles.
Même si chaque public cible a ses spécificités, les autorités fédérales veulent avant tout que l’information dispensée soit compréhensible par le plus de personnes possibles. Les producteurs de contenus visent avant tout la lisibilité, tant des contenus tous publics que de ceux destinés à des experts (Les "Règles générales de bonne rédaction" du Conseil d’Etat constituent une source inspirante pour les experts qui rédigent des textes). Lorsqu’une communication est simultanée auprès d’un public spécialisé et d’un public non spécialisé, il y aura une concordance entre les deux niveaux de contenus.
La créativité est encouragée lorsqu’elle facilite la communication des informations ou qu’elle apporte une plus-value pour le(s) public(s) cible(s). Dans certaines situations, l’internaute doit ressentir que vous êtes là pour lui. Une approche chaleureuse s’avère alors pertinente.
Afin de garder une unité d’ensemble, avant le démarrage de tout projet rédactionnel, les producteurs de contenus sont mis au courant des consignes de rédaction qu’ils auront à appliquer.