Les textes sont construits pour faciliter leur lecture suivant un ordre logique qui correspond à la pyramide inversée de l’information.
Puisque le lecteur scanne sur écran, les producteurs de contenus donnent des points de repère : titres, sous-titres, paragraphes… afin que le lecteur repère facilement ce qu’il recherche.
Dans les textes d’information, il n’y a pas de mot ni de titre en majuscules puisque sur le web, cela symbolise le fait de crier.
Les producteurs de contenus offrent un maximum d’accessibilité, notamment aux personnes présentant un handicap ou des déficiences qui limitent leurs possibilités sur le web.
Les contenus et l’agencement sont cohérents entre les différents supports, qu’ils soient online et/ou offline (page web, PDF, film, support papier…).
Blocs et paragraphes
Les producteurs de contenus organisent les pages pour la lecture en diagonale du haut vers le bas et de la gauche vers la droite.
Les contenus sont divisés en plusieurs blocs et en plusieurs paragraphes.
Chaque page est structurée de manière à orienter le lecteur vers les différentes informations qu’elle contient.
Titres et sous-titres
Etant donné que l’utilisateur arrive souvent sur une page web via un moteur de recherche, tout titre l’aide à comprendre le contenu qui suit.
Les blocs et paragraphes sont séparés par des titres et des sous-titres qui :
aident à structurer la page ;
orientent le lecteur dans la page ;
aident à trouver l’organisation source (référencement pertinent).
Liens
Puisque les liens détournent l’attention, ils sont en nombre restreints.
Les liens sont placés sur les mots significatifs.
Dans la balise d’un lien externe, apparaît la mention du nom du site externe ou de l’organisation.
Tout soulignement indique un lien interne ou externe. Rien d’autre n’est souligné.
Dans la mesure du possible, les liens sont rassemblés (fin de bloc, bas de page ou autre endroit dans la page).
Tableaux
Afin de rendre possible une compréhension linéaire, notamment pour les personnes qui utilisent un lecteur d’écran (aveugles, fortement soit malvoyantes, soit dyslexiques, soit dyspraxiques…), chaque cellule d’un tableau contient une seule donnée.
Les tableaux complexes sont divisés en tableaux simples.